Après une saison historique et une participation en Ligue des champions, le Stade Brestois s’apprête à vivre un virage budgétaire radical. Selon L’Équipe, le budget du SB29 pour la saison 2025-2026 sera compris entre 30 et 35 millions d’euros, soit un retour à la prudence, similaire à celui de la saison de la remontée en Ligue 1. Cette cure d’austérité s’accompagne d’une mesure forte : la masse salariale va être drastiquement réduite, passant de 45 à 16,5 millions d’euros, soit trois fois moins.
Ce coup de frein budgétaire n’est pas un cas isolé en Ligue 1. La baisse des droits TV (la DNCG a demandé à ce que cela ne soit pas inclus dans le budget) et la fin des versements du fonds CVC imposent à tous les clubs de moyenne envergure une gestion beaucoup plus rigoureuse. Brest, qui avait capitalisé sur sa saison européenne pour anticiper ce choc, n’échappe pas à la règle. Le directeur sportif Grégory Lorenzi l’a reconnu : « On arrive au bout des choses. On a atteint le fond, il faut reconstruire et arrêter de faire n’importe quoi ».
Le club breton va devoir réduire le nombre de joueurs professionnels et réviser à la baisse certains salaires, pas seulement chez les joueurs. Cette nouvelle donne est dictée par la réalité économique du football français, même si le Stade Brestois n'est pas réputé pour vivre au dessus de ses moyens. Pour Brest, l’objectif sera désormais de rester compétitif tout en s’adaptant à ces contraintes, en misant sur la formation et des recrutements malins.
Ce coup de frein budgétaire n’est pas un cas isolé en Ligue 1. La baisse des droits TV (la DNCG a demandé à ce que cela ne soit pas inclus dans le budget) et la fin des versements du fonds CVC imposent à tous les clubs de moyenne envergure une gestion beaucoup plus rigoureuse. Brest, qui avait capitalisé sur sa saison européenne pour anticiper ce choc, n’échappe pas à la règle. Le directeur sportif Grégory Lorenzi l’a reconnu : « On arrive au bout des choses. On a atteint le fond, il faut reconstruire et arrêter de faire n’importe quoi ».
Le club breton va devoir réduire le nombre de joueurs professionnels et réviser à la baisse certains salaires, pas seulement chez les joueurs. Cette nouvelle donne est dictée par la réalité économique du football français, même si le Stade Brestois n'est pas réputé pour vivre au dessus de ses moyens. Pour Brest, l’objectif sera désormais de rester compétitif tout en s’adaptant à ces contraintes, en misant sur la formation et des recrutements malins.